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Le 11 avril : c'est la journée mondiale de la maladie de Parkinson.
James Parkinson est un médecin britannique qui a marqué l’histoire de la neurologie pour avoir décrit avec précision, en 1817, une affection jusqu’alors méconnue : la paralysie agitante. Cette pathologie a été rebaptisée maladie de Parkinson en son honneur par le neurologue français Jean-Martin Charcot.
La maladie de Parkinson une maladie neurodégénérative qui se caractérise par la disparition très progressive de cellules du cerveau indispensables au bon fonctionnement du corps humain.
Ces cellules sont connues sous le nom scientifique de neurones dopaminergiques.
Ce sont elles qui permettent la fabrication de la dopamine, une molécule chimique responsable du contrôle de nos mouvements.
Sans cette molécule, nos gestes simples du quotidien, comme manger ou écrire, deviennent de plus en plus compliqués.
Selon les personnes, les effets de la maladie ne sont pas les mêmes. Certains ne peuvent pas marcher vite, d'autres sont pris de tremblements ou de raideurs des membres. Il y a également des symptômes non moteurs tels que la fatigue, les douleurs ou les troubles intestinaux.
L'évolution de la maladie est lente, mais lorsque les symptômes apparaissent, cela signifie que 6 à 80 % des neurones dopaminergiques ont disparu.
Il n'y a pas de traitement pour guérir cette maladie, mais il existe de nombreuses solutions qui permettent d’atténuer ses effets et donc d’améliorer la qualité de vie au quotidien des malades.
Plus d'info sur le site : https://www.franceparkinson.fr/
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Le 2 avril : journée mondiale de sensibilisation à l'autisme !
Aujourd'hui, c'est la journée mondiale de sensibilisation à l'autisme.
Le trouble du spectre de l'autisme (TSA) regroupe un ensemble de troubles neurobiologiques qui agissent sur le développement des personnes dites « autistes ».
Certains enfants vont présenter des symptômes autistiques très tôt dans leur développement ou un retard global de développement, ce qui alertera les parents et souvent les personnes de crèche/assistantes maternelles avant 3 ans. D'autres enfants n'ont pas de retard langagier ou moteur ; ce n'est qu'à l'école que les symptômes peuvent devenir manifestes.
TSA, TED ou AUTISME ?
On parle de troubles du "spectre" de l'autisme (TSA), car le terme d'autisme recouvre une réalité très large, très variée et très hétérogène. Chaque personne peut se situer à des degrés différents dans le spectre de l'autisme, selon la fréquence et l'intensité de ses particularités.
Aujourd'hui, les classifications internationales renoncent à classer les types d'autisme en grandes catégories (Kanner, Asperger, TED-NOS...), et ont abandonné la notion longtemps utilisée de "Troubles Envahissants du Développement" (TED) au profit de "Troubles du Spectre de l'Autisme" (TSA).
Le sujet est très vaste, avec beaucoup de nuance et des prises en charge différentes suivant les troubles.
Si vous recherchez des informations, le Centre Ressources Autisme des Pays de la Loire propose des ateliers pour les particuliers et professionnel de santé, gratuit sur inscription, ainsi que des ressource documentaire et des aides pour le quotidien https://cra-paysdelaloire.fr/
L'association Autisme 44 peut également vous permettre d'avoir des réponses et de trouver du soutien.
https://youtu.be/NuK8y8MD1b4?si=-ahy7OLD1L_1qWz3
28 mars : journée mondiale de l'endométriose
La journée mondiale de l'endométriose, qui se déroule aujourd'hui, permet de mettre un coup de projecteur sur cette maladie encore mal connue.
C'est une pathologie encore peu connue et mal diagnostiquée, elle touche pourtant 10 à 15 % des femmes en âge de procréer (soit entre 100 000 et 150 000 femmes en Pays de la Loire).
C'est une maladie inflammatoire chronique, caractérisée par la présence en-dehors de l'endomètre et du myomètre, de tissu ayant des similitudes avec la muqueuse utérine.
Ses conséquences sont variables, parfois très sévères sur les plans de la fertilité, de la qualité de vie, ainsi que des retentissements fonctionnels profonds liés à la douleur.
Le délai diagnostique de l’endométriose est de 7 à 10 ans en moyenne en raison de la faible spécificité des symptômes, du tabou autour des règles, de la sexualité et de la banalisation des douleurs. Ce délai de diagnostic est notamment à l’origine d’une évolution silencieuse de la maladie.
Vous pouvez dors et déjà trouver des informations sur internet. Le site "Petite chronique de l'endométriose" mis à disposition pour
http://xn--sant-epa.fr/, permet de manière ludique et très accessible d'effectuer un test de connaissance.
Il est complet et permet de faire le tour des maladies des endométrioses et de pouvoir s'orienter vers un parcours de soin adapté.
https://microlearning-sante.fr/.../endometriose/introduction
Sur le site
http://xn--sant-epa.fr/ vous trouverez des articles pouvant répondre à vos interrogations, suivant votre cas ou celui de quelqu'un de votre entourage.
https://www.sante.fr/endometriose
Il existe également des associations de patients :
https://www.endomind.org/
https://endofrance.org/
Les gynécologues, médecins traitants et sages-femme sont les premiers à pouvoir vous orientez, n'hésitez pas en parler.
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24 mars : journée mondiale de la lutte contre la tuberculose.
C’est le 24 mars 1882 que le Dr Robert Koch a annoncé avoir découvert le bacille responsable de la tuberculose. En cette journée mondiale de la lutte contre la tuberculose, faisons un point rapide sur cette maladie rare en France mais toujours présente.
La maladie :
C'est une maladie infectieuse provoquée par le bacille tuberculeux qui est une mycobactérie.
La transmission :
Elle est contagieuse lorsqu'il y a une atteinte pulmonaire.
Un malade non traité peut contaminer 10 à 15 personnes par an :
- par l’air rejeté lors de la toux ou des éternuements ;
- par les crachats (le bacille très résistant peut y survivre plusieurs semaines).
En suivant un traitement, le patient ne transmet plus la maladie à son entourage, mais reste contagieux entre 1 à 3 semaines après le début du traitement.
L’évolution :
* La primo-infection tuberculeuse : après un contact avec le bacille tuberculeux, 1/3 des personnes exposées développent une primo-infection tuberculeuse.
* La tuberculose latente : dans 90 % des cas, la bactérie reste au repos dans l’organisme. La personne ne présente aucun symptôme et n’est pas contagieuse.
* La tuberculose active ou maladie : dans 10 % des cas, après quelques mois ou quelques années (généralement dans les 2 ans), la bactérie se développe dans le corps et se dissémine dans l'organisme. Elle atteint alors un organe :
- le poumon, dans plus de 2/3 des cas : c’est la tuberculose pulmonaire (la forme contagieuse) ;
- des ganglions, os et articulations, méninges, l'enveloppe du cœur, reins, tube digestif... : c’est la tuberculose extra-pulmonaire (forme non contagieuse).
La vaccination :
Seul le vaccin BCG est en mesure de prévenir la maladie, mais l’obligation de vaccination a été suspendue en 2007. On ne vaccine désormais que les enfants les plus exposés à la tuberculose, afin de réduire les formes graves de la maladie.
Le traitement :
Non traitée, la tuberculose maladie évolue, pouvant entraîner le décès. Cependant, elle guérit lorsqu’un traitement antituberculeux efficace est correctement suivi jusqu’à son terme (généralement 3 à 6 mois)
Pour en savoir plus : https://sante-respiratoire.com/les-maladies-respiratoires/la-tuberculose/?fbclid=IwY2xjawJTRk5leHRuA2FlbQIxMAABHfq6OPxPsxG0WxXlENv099ujR9bzHFyyVUKyuIC6_NLP55TDk-YI7Dwa8A_aem_U0UhgaJzhbSqnkXwHvKj7A
Aujourd'hui, c'est le printemps et la journée mondiale du bonheur !
Le temps qui va en s'améliorant, les jours qui rallongent et les petits oiseaux qui sont en fête... Le printemps, quel bonheur ou pas !
Si nous n'avons pas tous la chance d'avoir Mary Poppins à la maison, nous pouvons quand même contribuer à développer notre bonheur au quotidien pour que les petits tracas et les coups durs ne nous plombent pas le moral.
Chacun à sa vision personnelle du bonheur, et la capacité au bonheur se développe avec les années. Ainsi, plus on cherche ce qui nous rend vraiment heureux, plus on arrive à mettre en place des petites techniques au quotidien.
Il a été prouvé qu'il est plus facile d'améliorer son humeur en agissant qu'en réfléchissant. Alors c'est parti !
* D'abord, éviter les idées noires :
- les émotions négatives surgissent avec le stress, et le stress, dans nos vies bien rythmées, on est sûr d'avoir notre dose. Alors quand on commence à être sous une bonne couche de stress et de négativité, on s'accorde 5 min d'un petit truc qui nous fait plaisir : un petit café avec un carré de chocolat (juste un...) , une chanson qui nous rebooste , un petit coup d’œil sur la photo du super week-end au bord de la mer qui nous fait sourire , allez faire un tour dehors, marcher, faire un peu de jardinage ... Bref, tout ce qui nous redonne un petit coup de peps pour aller au bout de cette journée !
* Changer de perspectives sur le bonheur : mieux vaut voir le verre à moitié plein que le verre à moitié vide !
- Ne pas se laisser envahir par l’anxiété : en prévoyant toujours le pire, on parasite sa bonne humeur. Voir les choses sous l’angle de l’optimisme, sans tomber dans la méthode Coué, a un effet positif indéniable.
- Remettre les événements mineurs à leur juste place. Si un proche s’est comporté injustement à votre égard, évitez de réagir à chaud, pour ne pas envenimer les relations. Laissez votre colère ou votre tristesse se dissoudre avec le temps, ce qui vous aidera à relativiser les faits.
- Savourer le plus souvent possible tous les instants de bonheur, quitte à les coucher par écrit pour pouvoir les relire quand on n'en trouve pas à se remémorer.
- Affronter les épreuves de l’existence, au lieu de refouler sa souffrance.
* Avoir une hygiène de vie convenable :
- bien dormir, manger sainement et pratiquer une activité physique ont un impact positif sur le bien-être !
Et puis il ne faut pas oublier que : le bonheur ne peut s’éprouver qu’en alternance avec son contraire ! Le psychisme s’appauvrit, perd de sa sensibilité en devenant bien moins réceptif à toute la palette émotionnelle, y compris les expériences de plaisir. (Moussa Nabati)
Pour conclure : bonne journée mondiale du Bonheur !
La journée mondiale de la trisomie 21 approche !
Elle aura lieu comme tous les ans le 21 mars !
Et si on participait au challenge : tous en chaussettes dépareillées ?
C’est l’occasion de sensibiliser à la différence, symbole de cette journée.
Pour participer en entreprise :
- Envoyer des photos de nos chaussettes dépareillées une personne de l'entreprise qui s'occupe de la collecte
- Faire un don à l'association @trisomie_21_france en fonction du nombre de photos collectées
Les dons sont essentiels pour soutenir les actions et défendre les droits des personnes avec une trisomie 21 ou une déficience intellectuelle.
Pour en savoir plus sur ce challenge et les modalités de versements de dons, envoyez vos mails à : communication@trisomie21-france.org

Odysséa, à vos baskets pour soutenir la lutte contre le cancer du sein
En ce dimanche matin, faîtes-vous partie des 171.950 personnes à avoir couru ou marché pour Odysséa Nantes ?
Odysséa est un défi sportif solidaire contre le cancer du sein, qui permet de récolter des fonds en faveur de la recherche contre le cancer du sein. L'association créée en 2002 a permis de récolter 16 millions d'euros.
Cette année encore, Nantes est une des 12 villes où cette course est organisée.
Vous n'avez pas eu votre dossard car la course est complète ?
Vous travaillez ce dimanche comme nos infirmières ?
Vous ne pouvez pas vous déplacer jusqu'à Nantes ?
Et bien pourquoi ne pas participer à la course en ligne ?!
Odysséa a développé une application qui permet de participer au 5 km marche ou course ainsi qu'au 10 km marche ou course (avec l'attestation Parcours Prévention Santé PPS) depuis le lieu que vous souhaitez, et vous avez jusqu'au dimanche 23 mars pour réaliser votre exploit !
Du 10 au 16 mars, c'est la semaine nationale du cerveau
Mais, qu’est-ce que la Semaine du Cerveau ?
Organisée chaque année au mois de mars depuis 1999, la Semaine du Cerveau est coordonnée en France par la Société des Neurosciences.
Pourquoi organiser une Semaine du Cerveau ?
Cette manifestation internationale, imaginée par la Dana Foundation, est organisée simultanément dans une centaine de pays et plus de 100 villes en France.
Elle a pour but de sensibiliser le grand public à l’importance de la recherche sur le cerveau. C’est l’occasion pour de nombreux chercheurs et chercheuses de rencontrer le public et de partager avec lui les avancées obtenues dans les laboratoires de recherche en neurosciences, d’en présenter les enjeux pour la connaissance du cerveau et les implications pour notre société.
Pendant toute cette semaine, le grand public pourra aller à la rencontre des acteurs et actrices de la recherche pour apprendre à mieux connaître le cerveau et s’informer sur l’actualité de la recherche.
C’est un événement spectaculaire par sa dimension nationale et internationale, par le nombre de personnes mobilisées, par le succès public rencontré, et par la qualité de sa programmation.
En 2024, c’est près de 100 000 personnes, jeunes et adultes, qui ont participé à l’événement.
Vous ne pouvez pas vous y rendre ? Les conférences viennent jusqu'à vous !
Sur le site internet https://www.semaineducerveau.fr/.../nos-conferences-en.../ vous retrouverez des conférences en replay et des podcasts sur le cerveaux sur les maladies mentales, l'apprentissage, les addictions, les émotions, les sommeils...
20e édition de la Semaine Nationale du Rein
La 20e édition de la Semaine Nationale du Rein bat son plein avec pour thème "Comment vont vos reins ? Une détection précoce protège la santé de vos reins".
A cette occasion, France Rein Pays de la Loire organise un dépistage gratuit demain vendredi 14 mars de 9h30 à 17h dans la galerie commerciale de E.Leclerc à Saint Géréon Ancenis.
En France, 6 millions de personnes ont les reins malades et l’ignorent. Lorsqu’elles s’en rendent compte, il est souvent tard. L’insuffisance rénale chronique, lorsqu’elle est terminale, est synonyme de dialyse et/ou de greffe.
Pourtant, en s’informant sur les maladies rénales et les risques qui y sont associés et en se faisant dépister, il est possible de retarder, voire d’éviter ces maladies très lourdes.
Le surpoids, le diabète et l’hypertension artérielle sont autant de facteurs aggravants.
Pour plus d’un tiers des personnes qui souffrent d’une insuffisance rénale chronique (IRC), le diagnostic est posé très tardivement : ils doivent alors être dialysés en urgence.
Les dépistages réalisés lors de la semaine nationale du rein permettent d’orienter de nombreuses personnes vers leur médecin traitant pour des examens complémentaires (environ 10 % des personnes dépistées).
Le dépistage est très simple et rapide. Il est réalisé à partir du test de bandelettes urinaires sur un échantillon d'urines.
JOURNÉE INTERNATIONALE DE L’ÉPILEPSIE
A l’occasion de la Journée Internationale de Épilepsie, l’équipe du Pôle Ressource Epilepsies Bretagne propose plusieurs rendez-vous qui se dérouleront du 4 au 12 février en Bretagne, Loire-Atlantique et Côtes d’Armor.
Sensibilisations sur les épilepsies, initiation aux gestes premiers secours, ateliers… se dérouleront du 4 au 12 février .
Renseignements :
equipe.ressource.epilepsies@4vaulx-mouettes.com
missiondappui@4vaulx-mouettes.com
Se libérer du stress et de l'anxiété au quotidien
Le stress et l'anxiété au quotidien, vaste sujet auquel tout le monde est confronté. Aussi pénible que ce soit, ce n'est pas une fatalité et il existe des moyens pour s'apaiser.
Au travers d'une conférence, la sophrologue Stéphanie ETIENNE nous proposera de découvrir ou redécouvrir des techniques pour ne plus se laisser submerger par le stress ou l'anxiété.
Cette conférence aura lieu le
vendredi 25 avril à 20h
à la salle municipale, 4 rue de la mairie à Casson.
Entrée gratuite
La soirée se terminera pour ceux qui le souhaite par l'Assemblée Générale de l'Association de Centre de Soins Infirmiers, l'occasion de découvrir nos activités et pourquoi pas de venir rejoindre nos bénévoles.
#lapréventionestlameilleuredesprotections
Dry January, ou le défi de janvier du mois sans alcool 2025 !
Cette année encore, le Dry January est le premier défi de l'année. Au-delà de la bonne résolution, le mois sans alcool est une initiative qui permet à tous de faire la point sur sa consommation.
Largement banalisé dans la culture française, l’alcool est le deuxième facteur de risque évitable de cancer en France. Il est responsable chaque année de 28 000 nouveaux cas. On estime à 49 000 le nombre de décès par an.
Il augmente le risque de développer les cancers du sein, du côlon et du rectum de la bouche et du pharynx, du foie, de l’œsophage, de l’estomac…
L’objectif est de sensibiliser le public aux risques de la consommation d’alcool et d’encourager une réflexion sur nos habitudes.
Les bénéfices de l'arrêt sont nombreux :
- Amélioration de la concentration ;
- Meilleure qualité de sommeil, ;
- Regain d’énergie ;
- Peau plus éclatante ;
- Perte ou stabilisation du poids.
Pour y participer, seul, entre amis, collègues, téléchargez : l’application Try Dry | Dry January®
En 2025, la Ligue contre le cancer lance une nouveauté : « Accords Essentiels ».
Ce projet vise à mettre en avant des accords mets/boissons sans alcool (jus, décoction, infusion…) dans les restaurants offrant ainsi une alternative savoureuse et saine aux traditionnels accords mets/vins.
L’objectif est de permettre à chacun de profiter d’une expérience gustative unique, que ce soit pour des raisons de santé ou simplement par choix.
Quatre restaurateurs de Loire-Atlantique participent à cette initiative nationale :
- Sain (Nantes);
- Imagine (Nantes);
- L’Abbaye de Villeneuve (Les Sorinières) ;
- Le Saint-Christophe (La Baule).
#Lapréventionestlameilleuredesprotections
Un nouveau local pour le centre de soins infirmiers des Touches !
Les travaux de construction du nouveau local du Centre de Soins Infirmiers de la commune des Touches ont commencé !!
Hâte de pouvoir accueillir les patients dans ce bâtiment tout neuf.
Il se situe juste à côté de la pharmacie.
La campagne de vaccination contre la Grippe saisonnière et le Covid-19 est ouverte.
Parce qu'ils évoluent chaque année, il est indispensable de s'en protéger et de se faire vacciner tous les ans. Pour être doublement protégées la Haute Autorité de santé (HAS) recommande qu’elles soient également vaccinées contre le Covid-19.
La vaccination contre la grippe est recommandée pour les personnes à risque de faire une forme grave de la grippe.
Les personnes éligibles à la vaccination contre la grippe sont :
- les personnes âgées de 65 ans et plus ;
- les personnes de moins de 65 ans, y compris les enfant dès l’âge de 6 mois, souffrant de certaines maladies chroniques (liste des personnes éligibles dans le calendrier des vaccinations) ;
- les femmes enceintes ;
- les personnes souffrant d’obésité (indice de masse corporelle (IMC) supérieur ou égal à 40) ;
- les personnes séjournant dans un établissement de soins de suite ou dans un établissement médicosocial d’hébergement quel que soit leur âge.
La vaccination est aussi recommandée à d’autres populations afin d’assurer une protection indirecte en vaccinant :
- les professionnels de santé et tout professionnel en contact régulier et prolongé avec des personnes à risque de grippe sévère ;
- l’entourage des nourrissons de moins de 6 mois à risque de complication grave de la grippe et des personnes immunodéprimées ;
- les aides à domicile des particuliers employeurs vulnérables ;
- les professionnels exposés aux virus influenza porcins et aviaires, pour éviter la transmission aux animaux des virus influenza humains. C’est une mesure de protection collective contre les virus porcins ou aviaires et cette vaccination contre la grippe humaine peut en ralentir la circulation.
La vaccination contre la grippe saisonnière est également proposée aux enfants de 2 à 17 ans révolus sans maladie chronique (comorbidité).
Pour la plupart de ces personnes, l’Assurance Maladie prend en charge leur vaccin à 100 %.
La vaccination est essentiel mais les gestes barrières ne sont pas pour autant à négliger :
- si vous êtes malade et que vous devez absolument rendre visite à une personne fragile, le port du masque est indispensable
- aérer le logement très régulièrement
- se laver souvent les mains
- tousser ou éternuer dans son coude ou dans un mouchoir
Semaine Bleue : retour sur la journée de sensibilisation et d'ateliers à destination des séniors.
Nous avons organisé le 1e octobre 2024 une journée prévention dans le cadre de la semaine bleue à la salle Sud de Nort sur Erdre.
Les participants ont bénéficié de conseils afin de continuer à bouger et d'adapter leurs habitudes. Ils ont également appris des étirements, découvert la marche nordique et la gym adaptée, et profiter d'une collation servit par un bénévole de notre association.
Un grand merci aux intervenants ergothérapeute, ostéopathe, technicien de santé du magasin matériel store de Nort sur Erdre, l'association Bougeons Ensembles SVP, au CCAS de Nort sur Erdre et à nos bénévoles pour l'organisation de cette journée.
La Semaine Bleue : semaine nationale des retraités et des personnes âgées ! Édition 2024

Du 30 septembre au 6 octobre 2024 se déroulera
#LaSemaineBleue : la Semaine Nationale des retraités et des personnes âgées.
Cette année, le thème est : Bouger ensemble... pour entretenir la flamme !
L'Association des Centres de Soins Infirmiers de la Région de Nort sur Erdre et le CCAS de la
Ville de Nort-sur-Erdre organise une journée prévention le mardi 1 octobre 2024 à la salle SUD, 9 rue de la Fraternité à Nort sur Erdre.
LE MATIN des ateliers prévention gratuits sans réservation :
09h - 10h atelier "Continuer à bouger quand on a besoin d'aide"
animé par Emmanuelle ELUERE, ergothérapeute à HERIC avec la participation de Régis DEROUET de
Matériel Médical Store Technicien de santé de Nort sur Erdre autour de la mobilité et des aides techniques (canne, déambulateur, fauteuil roulant…)
10h - 11h atelier "Risque de Chute à l'intérieur et à l'extérieur du domicile"
animé par Emmanuelle ELUERE, ergothérapeute à HERIC et Régis DEROUET Matériel Médical Store Technicien de santé de Nort sur Erdre autour de la prévention des chutes à la maison, en promenade, au jardin...
11h - 12h atelier "Mise en mouvement et étirement au quotidien"
animé par Sandra BESSIERE, ostéopathe à Nort sur Erdre avec la participation de Régis DEROUET Technicien de santé matériel store de Nort sur Erdre autour de la mobilité au quotidien
L'APRES MIDI des initiations gratuites sur inscription :
L’association Bougeons SVP propose de découvrir l’activité physique adaptée avec un professionnel diplômé. Le but étant de réapprendre à bouger en tenant compte de ses possibilités afin de retrouver une certaine autonomie.
14h - 14h30 initiation marche nordique - 15 places sur inscription
14h30 - 15h initiation marche nordique - 15 places sur inscription
15h - 15h30 initiation gym adaptée - 15 places sur inscription
15h30 - 16h initiation gym adaptée
- 15 places sur inscription
Inscription par téléphone au 02 40 72 11 67
Tic tac... tic tac... La rentrée arrive à grand pas !

Et après cette période de presque 2 mois où l'on est moins regardant sur l'heure du lever et du coucher, où on se fait plaisir et on prend son temps, le rythme du retour est souvent dur à encaisser !
Le syndrome post-vacances guette, mais ce n'est ni une fatalité, ni une simple invention de l'esprit. Beaucoup de gens ressentent une forme de mal-être au retour des vacances, que ce soit les adultes comme les enfants.
Des recherches menées sur le sujet ont indiqué que pour ne pas avoir la grosse fatigue liée au changement de rythme, il fallait reprendre progressivement un rythme de coucher et lever 10 jours avant la rentrée.
Et ça tombe bien, la rentrée est dans 10 jours
Alors il est temps de reprendre les bonnes habitudes !
* Pour le rythme du sommeil : il est recommandé de commencer à se coucher progressivement plus tôt, même si le sommeil n'est pas là, à couper les écrans pour favoriser l'endormissement. Et avec la rentrée, pourquoi ne pas mettre en place une nouvelle habitude : lire un livre, faire du coloriage, commencer à écrire dans un journal les bons moments et petits tracas de la journée.. On baisse la lumière et on se détend. Bref tout ce qui nous fait du bien pour passer une bonne nuit de sommeil.
* Pour faire le plein d'énergie : une bonne hygiène de vie est importante pour que le corps soit plein d'énergie. Et on va dire qu'en vacances, on a tendance à sauter les repas, manger en milieu d'après midi et de favoriser ce qu'on aime plutôt que ce que notre corps à besoin.
Boire beaucoup d'eau, manger un maximum de fruit et de légumes, et si besoin une petite cure de vitamines. On reprend le sport en douceur et on se repose.
* Faire le plein de sérénité : et pour se faire anticiper ! Préparer quelques jours avant les affaires pour le jour J permet d’ôter un stress.
Faire du rangement et du tri permet également de libérer l'esprit et remettre de l'ordre dans son esprit. Avoir un bureau, une armoire, une chambre bien rangée, où on sait que tout est à sa place sans qu'on cherche pendant 2h cette équerre qu'on est sur d'avoir posée là pourtant, ou le pantalon fétiche de notre loulou qui a pris 5 cm pendant l'été et qui est désormais trop petit, annonçant une crise de larme avant l'école.... On essaie d'anticiper au maximum les petites tensions qui pourraient survenir avant de démarrer le rythme jusqu'au prochaine vacances...
Allez, on se motive tous ensemble : cette année scolaire va démarrer avec le sourire et la bonne humeur !
Retour sur la soirée prévention / Assemblée Générale de l'association
La soirée prévention/AG de l'Association s'est tenue vendredi dernier à Saint-Mars-du-Désert, une des 6 communes couvertes par nos services.
En première partie, une cinquantaine de participants ont pu profiter d’une action de prévention sur le thème "« Prendre soin de sa santé et de son bien-être dans son assiette »", présentée par Delphine Caillon Loger Diététicienne Nutritionniste, diététicienne nutritionniste.
L’assemblée a été très participative lors de la présentation de l’intervenante alliant bon conseil et bonne humeur. La conférence s’est terminée par une dégustation de chocolat, particulièrement appréciée, afin de redécouvrir comment manger avec plaisir sans excès.
La soirée s'est poursuivie par la présentation des comptes ainsi l'élection du tiers Mme Maryvonne HERRY, M. Jean-Yves OUAIRY, Mme Odile CHERBONNIER, Mme Patricia FOUCHARD et M. Joseph DROUET. Mme CHERBONNIER et M. OUAIRY n’ont pas souhaité renouveler leur mandat. Six nouveaux membres ont rejoints l’association : Mme Brigitte BOURE, Mr Médard BOURE, M. Christophe GAUTIER, M. Benjamin ANTIER, M. Aurélien MONNIER et M. Laurent RAITIERE.
M. Charles LEBOT, Vice-Président en poste, a rappelé dans son rapport moral, l’effectif infirmier actuel au nombre de 21 ainsi que 3 postes administratifs à Nort/Erdre et un à St Mars du Désert 3 jours par semaine, managés par la directrice Sylvie FEILLARD, dont l’efficacité n’est plus à démontrer. Il a salué et remercié l’ensemble du personnel et les administrateurs : et espère que 2024 sera une année plus pérenne et que nous pourrons appliquer la devise de Dominique GUELLIER, soit « rendre l’ACSIRNE toujours plus efficace ».
Nous rappelons que les services du centre de soins sont assurés 7j/7 avec astreinte de nuit.
Un verre de l’amitié a clôturé cette soirée.
#lapréventionestlameilleuredesprotections
Soirée prévention / Assemblée Générale de l'association : C'est le vendredi 12 avril 2024 !
Vendredi 12 avril, à Saint-Mars-Du-Désert, nous organisons une soirée prévention autour de l'alimentation santé et bien-être animée par Delphine Caillon Loger Diététicienne Nutritionniste sur Nantes.
Diététicienne nutritionniste professionnelle, diplômée en sociologie avec plus de 18 ans d'expérience dans la formation sanitaire, sociale et médico-sociale, elle nous donnera les clés pour trouver ou retrouver une alimentation adaptée, saine et équilibrée tout en surveillant son porte monnaie.
Face à ses propres contraintes économiques, de temps, de mode de vie, son état de santé... il n'est pas toujours facile de savoir quoi manger, d'avoir les bonnes informations et quoi mettre en place concrètement pour prendre soin de soi grâce à son alimentation.
A l'issue de la soirée se tiendra l'Assemblée Générale de l'association. C'est l'occasion de découvrir nos activités ainsi que le personnel et les bénévoles.
Le vendredi 12 avril 2024 à 20h, salle Cadaran 1 rue de Cadaran à St Mars du Désert
#lapréventionestlameilleuredesprotections

Les 22, 23 et 24 mars : les 30 ans du Sidaction !

#lapréventionestlameilleuredesprotections
Ce week end, c'est les 30 ans du Sidaction.
30 ans de combat aux côtés des chercheurs, des associations et des personnes vivant avec le VIH.
Avec 5 000 nouvelles découvertes de séropositivité recensées en France1 en 2022 et 1,3 million dans le monde, la lutte contre le sida est toujours d'actualité.
Mais au fait, ça s'attrape comment le SIDA ?
Beaucoup de nos jeunes ne savent même plus ce que c'est, hormis une vague maladie qui existant dans le temps dont on parle un peu au collège, mais qui n'existe plus.
Alors petit rappel concernant cette maladie peut se transmettre d’une personne contaminée à une autre :
* Lors de rapports sexuels non protégés par un préservatif (externe ou interne) avec pénétration vaginale et/ou pénétration anale,
* Lors d'une fellation (essentiellement quand on reçoit du sperme dans la bouche),
* Par voie sanguine lors de partage du matériel d’injection en cas d’usage de drogues injectables, d’échanges de paille pour sniffer et en cas de piqûre accidentelle avec du matériel de soins contaminé pour les professionnels de la santé (Accident d'Exposition au Sang),
* De la mère à l’enfant au cours de la grossesse ou de l’allaitement.
La probabilité de transmission est variable selon différents critères, en particulier en fonction de la quantité de virus chez la personne séropositive (charge virale).
La prise d’un traitement antirétroviral limite considérablement le risque de transmission du VIH, et ce risque est nul si la charge virale VIH est indétectable depuis plus de 6 mois. Une personne qui est séropositive et qui prend un traitement efficace ne peut pas transmettre le VIH.
Mais alors, c'est quoi le test ?
Il existe 3 tests :
* Le test ELISA : test classique, 1 prise de sang à faire 6 semaines après la prise de risque. Il permet de détecter la présence d'anticorps, signes d'infection. Il est totalement fiable si il est réalisé 6 semaines après la prise de risque.
* L'Autotest VIH : autotest, à faire 12 semaines après la prise de risque. Il est réalisé à partir d’une goutte de sang et grâce à un autopiqueur, dans les conditions qui vous conviennent le mieux : seul-e, avec un-e ami-e, avec son médecin, en pharmacie, etc.
L’autotest VIH est totalement fiable pour un risque pris il y a plus de trois mois (12 semaines). Le résultat est obtenu au bout de 15 minutes.
* Le TROD : test rapide, à faire 12 semaines après la prise de risque. Il permet d’avoir un résultat en 30 minutes maximum. Il fonctionne à partir d'une goutte de sang prélevée au bout d'un doigt. Un délai de 3 mois (12 semaines) doit s’être écoulé après la dernière prise de risque.
Si le test rapide est positif, il doit être confirmé par un test de dépistage classique du VIH (par prise de sang), réalisé dans un laboratoire ou un CeGIDD (Centre Gratuit d’Information, de Dépistage et de Diagnostic).
Je ne me sens pas malade, j'ai pas l'impression d'avoir été exposé, est ce que je dois faire quand même un test ?
Et bien oui, la prévention n'est jamais inutile.
* Si vous n'avez jamais fait de test de dépistage : c'est le seul moyen de savoir si vous avez le VIH ou pas ;
* Si vous ne vous protégez pas toujours lorsque vous avez des relations sexuelles : il est recommandé de faire un test de dépistage au moins une fois par an ;
* Si vous envisagez une vie de couple : faites tous les deux un test de dépistage avant d'arrêter le préservatif ;
* Si vous avez été ou êtes usager de drogues par voie intra-veineuse et que vous avez échangé du matériel d'injection avec d'autres usagers de drogues : il vaut mieux faire un dépistage.
24e Journée du sommeil !

#lapréventionestlameilleuredesprotections
Aujourd'hui, c'est la 24e journée du sommeil !
Pourquoi c'est important en un chiffre : 25. C'est le nombre d'année que nous aurons dormi à 75 ans !
Le manque de sommeil a des conséquences sur notre corps : prise de poids, diabète, augmentation de la douleur, dépression, aggravation des troubles respiratoires et cardiovasculaires, somnolence, baisse de performance...
Alors comme cette année est placée sous le signe des Jeux Olympiques, petit focus sur l'allié d'un bon sommeil : l'activité physique.
1 BOUGER PROGRESSIVEMENT : on commence par des petites séances courtes : 10/15 min la première semaine et on augmente progressivement, histoire de ne pas se dégouter ou pire, de se blesser.
2 BOUGER RÉGULIÈREMENT : plusieurs petites séances sont plus faciles à caler dans l'emploi du temps qu'une grosse séance. En gardant un repos de 24h à 48h entre 2 séances pour laisser le temps au corps de se remettre.
3 VARIER LES ACTIVITÉS PHYSIQUES : c'est le secret de la longévité ! Varier le type d'activité, ou le terrain, pour casser la routine et de découvrir de nouvelle sensation.
4 PRATIQUEZ À PLUSIEURS : c'est toujours plus sympa en groupe, on se motive, on discute, c'est stimulant et ça permet de garder l'envie d'y aller les jours de flemme.
5 SUIVEZ VOS PROGRÈS : tenir un carnet personnel, comme un journal de bord, dans lequel on note ses séances et on planifie les suivantes. Ou alors on opte pour une appli qui permet de mettre des rappels, et qui permet d'enregistrer directement nos performances grâce à une montre connectée par exemple. Le principal est de garder le plaisir sans se mettre la pression
L'activité physique aide à améliorer son sommeil, et bien dormir permet d'améliorer ses performances, le combo gagnant !
Plus d'informations sur le site https://institut-sommeil-vigilance.org/programme-journee.../
Mars Bleu pour le dépistage du cancer colorectal

Ce mois de mars est le mois du printemps, des beaux jours et de la couleur bleue ! Et oui, c'est le mois de sensibilisation au dépistage du cancer colorectal.
Ce cancer figure parmi les plus répandus en France et touche autant les hommes que les femmes
.
Il concerne chaque année plus de 47 000 personnes, soit près de 130 cas diagnostiqués par jour.
Et il est sournois : dans un premier temps, pas de symptômes ni signes perceptibles. De ce fait, il est parfois diagnostiqué tardivement et nécessite alors des traitements lourds.
Grâce au dépistage et au suivi régulier des personnes présentant des risques personnels ou familiaux, c'est un cancer évitable. Détectées à temps, les lésions précancéreuses sont retirées avant qu’elles ne se transforment en cancer.
Ainsi, les femme et les hommes âgés de 50 à 74 ans, sont invités tous les 2 ans par courrier au programme national de dépistage du cancer colorectal (ne présentant ni symptômes, ni antécédents personnels ou familiaux de polype, de cancer ou de maladie touchant le côlon ou le rectum, ni facteurs de risque particuliers, à réaliser un test immunologique).
Ce test est simple, rapide et gratuit : il est a réaliser soit même, chez soi et prend 2 minutes ! Plus d'excuse pour caler ce petit geste dans son emploi du temps.
Il suffit de commander un kit gratuitement :
- en ligne sur monkit.depistage-colorectal.fr ;
- en pharmacie, avec la carte Vitale ;
- lors d'une consultation chez votre médecin.
Il consiste en un auto-test immunologique qui peut être réalisé en 2 minutes. Envoyés par la poste, les résultats vous sont adressés par courrier. Ce test est pris en charge à 100 % par l’Assurance Maladie.
En revanche :
- en cas de sang dans les selles, de perte de poids inexpliquée ou de troubles du transit, une consultation chez un spécialiste s’impose ;
- si vous avez des antécédents personnels ou familiaux, signalez-les et parlez-en à votre médecin ;
- si vous avez plus de 74 ans, vous pouvez demander à votre médecin de bénéficier d'un suivi personnalisé.
Pour plus d'information, rendez-vous sur le site https://www.ligue-cancer.net/mars-bleu
#lapréventionestlameilleuredesprotections
L’Association Centre de Soins Infirmiers de la Région de Nort sur Erdre a perdu son Président Dominique GUELLIER le 29 septembre 2023, membre de l’Association depuis 1993 et Président depuis 2014.
Sa bonne humeur a été un élément moteur de l’Association, investi dans son poste, toujours à l’écoute de l’équipe veillant au bien être de tous.
C’est avec beaucoup d'émotion que le Conseil d’Administration s’est réuni hier soir pour lui rendre hommage, afin de donner suite aux missions en cours. A cette occasion, un nouveau bureau est élu.
Voici sa composition :
Le Président : Thierry LARCHER (démission en janvier 2024)
Le Vice-Président : Charles LEBOT
La Secrétaire : Patricia FOUCHARD
La Secrétaire adjointe : Delphine FOUCHARD
Le Trésorier : Pierre EFFRAY
La Trésorière adjointe : Anne ATHIMON
Nous remercions l’ensemble du Conseil d’Administration pour leur dévouement en veillant au bon fonctionnement et la bonne gestion de l'Association. Notamment pour leur implication dans les actions de prévention auprès de la population des communes où nous sommes implantées.
Semaine nationale de la prévention du diabète.
C'est la semaine nationale de la prévention du diabète.
Mais le diabète, c'est quoi ?
C'est une maladie chronique caractérisée par la présence d’un excès de sucre dans le sang, appelé hyperglycémie. L’hyperglycémie prolongée du diabète expose à de nombreuses complications.
Il existe plusieurs types de diabète :
- Le diabète de type 1 : il ne présente que 6 % des cas de diabète. Il apparaît en général dans l’enfance ou l’adolescence, détecté suite à des symptômes d’alerte. Il est dû à la destruction des cellules du pancréas qui produisent l’insuline ; les causes font l'objet de recherches. Il réclame un traitement à vie par injections d’insuline, une auto-surveillance rapprochée de la glycémie. On ne connaît pas de moyen de le prévenir.
- Le diabète gestationnel : il apparaît chez certaines femmes durant la grossesse et disparaît après l’accouchement. Il accroît le risque de complications à la naissance, et le risque de développer ultérieurement un diabète de type 2.
- Le diabète de type 2 : c'est le plus fréquent (92%). Il est lié à une baisse de sensibilité des cellules à l’insuline, une hormone du pancréas qui a pour rôle de faciliter la pénétration du sucre dans les cellules. Cela génère une demande accrue en insuline, et les cellules du pancréas en produisent davantage, jusqu’à épuisement.
Il apparaît généralement après 40 ans, sa fréquence augmente avec l’âge. On peut vivre avec plusieurs années sans le savoir. Il est lié à l’évolution des modes de vie, surtout alimentation trop riche ou déséquilibrée (graisses et sucres) et manque d’activité physique, ou encore les troubles du sommeil. Il est souvent associé au surpoids et à l’obésité.
Il peut exister une prédisposition génétique de sensibilité au diabète de type 2 et, probablement, d’autres facteurs environnementaux.
Et comment prévenir l’apparition du diabète de type 2 ?
En ayant une bonne hygiène de vie :
- pratiquer une activité physique régulière : 30 minutes d'activité modérée 3 fois par semaine est une bonne habitude à adopter.
- avoir une alimentation équilibrée et variée, et en quantité raisonnable : manger de tout, en quantité suffisante. Limiter les excès de sel, de graisses, de sucres, d'alcool...
Il est possible de faire un test pour savoir si on est une personne à risque : https://contrelediabete.federationdesdiabetiques.org/le-test
Plus d'info sur le site :
https://contrelediabete.federationdesdiabetiques.org/
Le 9 septembre : c'est la Journée Mondiale des Premiers Secours
Fermez les parasols, sortez les défibrillateurs… La Journée Mondiale des Premiers Secours vous donne rendez-vous le 9 septembre 2023 !
Demain, la Croix-Rouge française sera présente Parvis des Océanes à Pornichet pour initier gratuitement petits et grands aux gestes de premiers secours.
L'occasion de profiter du soleil et des conseils des volontaires présents !

La durée du sommeil
Cette semaine, nous allons parler durée du sommeil. Faut-il dormir 8h pour être en bonne santé ?
Et bien la réponse est non. Il n'y a pas une durée de sommeil qui convienne à tout le monde. C'est déjà une bonne nouvelle ! On peut être un gros dormeur, un petit dormeur, dormir 11h ou 6h, le principal est de se réveiller en forme et de ne pas avoir de somnolence la journée.
La durée du sommeil est déterminée par notre patrimoine génétique. La durée idéale pour un adulte varie de 7 à 10 heures par nuit, divisées en 4 à 6 cycles de 90 minutes environ.
Et si je me réveille dans la nuit, ça veut dire que je suis un mauvais dormeur ?
La durée de sommeil ne veut pas forcément dire dormir 7h en une seule fois. Ce fonctionnement change naturellement en prenant de l'âge. Les horaires d' endormissement et de réveil évoluent avec le temps : une personne âgée a tendance à s’endormir et à se réveiller plus tôt, avec des réveils plus fréquents au cours de la nuit.
Saviez-vous que, jusqu’au XIXe siècle, en Europe, il était d’usage de dormir en deux périodes distinctes ? Une première moitié, de 20h à 24h environ, puis une seconde, de 2 à 5 h (ou 3 à 6h). Entre les deux, les gens se levaient et reprenaient leurs activités domestiques. C’est pour raison que nous appelons « minuit » une heure (24h/0h) qui, pour nous, n’est plus du tout au milieu de la nuit !
Plus je vieillis, plus je me lève tôt, c'est normal ?
Environ 3/4 des séniors se lèvent avant 7h le matin, et on estime que le nombre de réveils au cours de la nuit passe d’environ 5 par nuit à l’âge de 5 ans à une… trentaine à 50 ans !
Ce phénomène est dû au fait que la proportion de sommeil lent profond diminue : d'environ 45 min par cycle à la fin de l’adolescence, il passe à seulement quelques minutes au-delà de 60 ans. En prenant de l’âge, le dormeur devient plus fréquemment réceptif à son environnement (et à la tension de sa vessie…) : il se réveille plus facilement. Ces changements dans la façon de dormir peuvent faire croire que l'on dort moins bien. Du moment qu’ils n’ont pas d’impact négatif sur la vie quotidienne, ce ne sont toutefois pas de véritables troubles du sommeil.
Est ce qu'on vit plus vieux si on dort bien ?
Les personnes qui dorment 6 à 8 heures par nuit auraient tendance à vivre plus longtemps que celles qui ne passent que quelques heures au lit ou, au contraire, dépassent les 10 heures de sommeil. Selon une étude canadienne, les adultes qui respectent les recommandations relatives à la durée du sommeil ont une espérance de vie supérieure de 1,2 ans à celle de ceux qui dorment moins que ces recommandations, et de 2,6 ans à celle de ceux qui dorment plus que recommandé. Des études complémentaires sont néanmoins nécessaires pour confirmer et comprendre ces résultats.
Mais alors, comment savoir si on dort suffisamment ?
Si on a l'habitude des nuits hachées, on se demande parfois si la durée de notre sommeil des suffisants.
Pour évaluer son sommeil de manière objective, il existe un test simple, le test d’Epworth, qui évalue la tendance à s’assoupir dans 8 situations de la vie quotidienne (en journée) :
- assis en train de lire ;
- assis en parlant avec quelqu’un ;
- assis au calme après un déjeuner sans alcool ;
- assis, inactif dans un lieu public (cinéma, théâtre, réunion) ;
- en regardant la télévision ;
- comme passager d’une voiture (ou de transport en commun) roulant sans arrêt depuis une heure ;
- dans une voiture immobilisée depuis quelques minutes ;
- allongé l’après-midi.
Pour chacune de ses situations, il suffit d’affecter le nombre de points le plus approprié pour chaque situation de la liste :
- situation ne présentant aucun risque de somnoler ou de s’endormir : 0 point ;
- faible risque = 1 point ;
- risque moyen = 2 points ;
- risque élevé = 3 points.
Si vous avez un résultat qui atteint 12 points ou plus, il est préférable d’en parler avec votre médecin traitant.

Le sommeil et les écrans
Pour la deuxième semaine consécutive, nous nous penchons sur la qualité du sommeil.
Nous allons aborder aujourd'hui le sommeil et les écrans.
Alors que nous sommes « formatés » pour être en situation d’éveil le jour et de sommeil la nuit, les écrans viennent perturber ce cycle en nous gardant éveillés de plus en plus tard le soir.
Leur impact sur le sommeil a fait l’objet de nombreuses études qui montrent que les consommateurs d’écrans le soir avant de dormir ont plus de difficultés à s’endormir, souffrent davantage de troubles du sommeil et dorment plus que la moyenne durant le week-end pour compenser.
Les écrans ont un effet négatif sur notre sommeil à deux niveaux :
- Ils perturbent notre horloge interne : la lumière émise par les écrans contribue en effet à bloquer la production de mélatonine et favorise ainsi l’éveil, même à des niveaux faibles d’exposition. Une étude publiée en 2016 dans le Journal of Clinical Investigation par des chercheurs de l’université Stanford (Californie) a ainsi montré que de brefs flashs réguliers de lumière (de deux millisecondes toutes les dix secondes) retardaient l’horloge interne des individus participant à l’étude, même lorsqu’ils étaient endormis.
- Ils maintiennent notre cerveau dans un état d’excitation intellectuelle peu propice à l’endormissement. Les activités nocturnes sur écrans favorisent ainsi le recul de l’heure de l’endormissement et contribuent à diminuer le temps de sommeil (si l’on se lève à heure fixe).
Et attention aux faux amis : les filtre lumières bleues sur les téléphones et sur le lunettes ne bloquent pas les méfaits des écrans sur le sommeil. Il n'est pas rare de faire un dernier tour sur le téléphone et de se retrouver une heure plus tard toujours à scroller devant des réels de chatons...
Il n'y a pas de solution miracle : il faut se forcer à éteindre les écrans au moins 1h30 avant d'aller se coucher.
C'est le moment idéal pour un jeu de société, de s'adonner à sa passion ou de lire enfin ce livre qu'on nous a offert à Noël dernier mais qu'on a jamais eu le temps de commencer...
Téléphone allumé la nuit : gare à l'effet de « veille permanente »
Les experts mettent en garde contre une habitude de plus en plus répandue qui consiste à dormir avec son téléphone portable allumé sur sa table de nuit. Ils s’inquiètent de l’impact de ce réflexe sur le sommeil des utilisateurs qui sont en situation de veille tout au long de la nuit, à l’affût de la moindre notification. Parce qu’ils ne parviennent pas à se déconnecter et à lâcher prise, leur sommeil ne peut qu’être perturbé. Le mieux est de l'éteindre ou de le mettre en mode avion.
Envie de savoir où vous en êtes, vous pouvez tester sur le site de l'institut du sommeil :
https://institut-sommeil-vigilance.org/sommeil-et-nouvelles-technologies/?fbclid=IwAR3lX5ZusxRUG9FO3V-Z9Wo3UtDrFkaF8WYrzHF59eJTK5PScGjpZwX3hgI
C'est bientôt la rentrée (ou presque !)
Alors pour commencer cette année scolaire du bon pied, nous allons sur le mois d'août vous donnez des conseils sur le sommeil.
Cette semaine parlons de l'activité physique et du sommeil.
"EXERCER UNE ACTIVITÉ PHYSIQUE RÉGULIÈRE EST UN GAGE DE BON SOMMEIL" d'après le Dr Joëlle ADRIEN, neurobiologiste, Docteur en Sciences, et directrice de recherches à l'Institut national de la santé et de la recherche médicale
Sans forcément se rendre à la salle de sport ou à des cours de fitness le soir, la marche d'un pas vif est un excellent exercice. Le plus important est la régularité : il est recommandé de faire au moins 30 min d'activité physique tous les jours et un peu plus longtemps le week-end.
Vous n'avez pas autant de temps disponible ?
Et bien ce n'est pas pour ça qu'il ne faut rien faire. Passer un coup de fils en marchant plutôt qu'allongé sur le canapé, prendre les escaliers plutôt que l'ascenseur, profiter de la causette dans la piscine avec les copines pour faire travailler ses jambes sous l'eau. Le principal, c'est de bouger !
Par où commencer ?
1er : BOUGER PROGRESSIVEMENT : il est primordial de commencer progressivement, pour ne pas risquer d’en faire trop et d’être dégoûté dès les premières séances. L’idéal, c’est de commencer en faisant des activités (marche, footing, vélo, etc.) courtes : 10/15 minutes la première semaine, 20/30 minutes la semaine suivante, et ainsi de suite…
2e : BOUGER RÉGULIÈREMENT : plusieurs petites séances sont plus simples à réaliser et valent mieux qu’une seule séance longue. Par ailleurs, c’est la répétition régulière des exercices qui vous apportera des bénéfices en termes de santé et de forme. Pensez à bien espacer les séances de 24h à 48h en cas d’activité physique intense, afin de permettre à votre corps de récupérer, et n’oubliez pas qu’une alimentation équilibrée et une hydratation suffisante vous aident également pour reprendre des forces après l’effort.
3e : VARIER LES ACTIVITÉS PHYSIQUES : la variété est le secret de la longévité ! Même si vous ne pratiquez qu’une seule activité, vous pouvez varier les terrains (forêt, plaine, milieu urbain, etc.), réaliser des séances plus ludiques sous forme de jeux par exemple. Vous pouvez aussi vous entraîner en ayant des objectifs précis : travail cardio, endurance, vitesse, renforcement musculaire…
Si vous pratiquez plusieurs activités, n’hésitez pas à les alterner pour éviter le risque de lassitude avec le temps. Les activités d’extérieur vous seront les plus bénéfiques grâce à la lumière du jour et au grand air mais vous pouvez aussi réaliser certaines de vos activités dans une salle. Encore une fois, l’essentiel, c’est de bouger !
4e : PRATIQUEZ À PLUSIEURS : si vous avez peur de l’ennui, optez pour les activités à deux ou en groupe, c’est plus stimulant et ludique. Vous pouvez aussi choisir de vous faire accompagner par un coach ou alors adhérer à structure qui vous offrira un cadre pour pratiquer et un accompagnement lors de vos séances.
5e SUIVEZ VOS PROGRÈS : vous pouvez tenir un carnet personnel, comme un journal de bord, dans lequel vous pourrez noter vos séances réalisées et planifier les suivantes mais à la longue, cela peut devenir lassant.
Aidez-vous en utilisant des objets connectés (bracelet, montre, capteur de déplacement) qui vous permettront d’enregistrer automatiquement votre activité physique au jour le jour et de suivre dans le temps vos progrès grâce aux applications consultables sur votre ordinateur ou votre smartphone.
Quand pratiquer ?
De préférence le matin ou dans la journée, et au minimum 3h avant le coucher car l'activité physique retarde l'endormissement.
Source :
https://institut-sommeil-vigilance.org/dormez-bougez/
L'été, c'est également la saison des barbecues !
Mais attention aux brulures et aux départs de feu ! Si un jour le temps le permet, voici quelques recommandations pour pouvoir profiter des brochettes sans finir sa soirée aux urgences.
Les préparatifs avant de se servir d’un barbecue :
- Vérifier sa conformité aux normes et la réglementation du lieu en vigueur
- S’assurer de la bonne stabilité du barbecue.
- Poser le barbecue à endroit dégagé : un périmètre de sécurité de 1,50 m minimum autour du barbecue, isolé de toute source inflammable (arbre, feuillage).
- Ne pas se servir d’un barbecue en cas de vent important.
- Prévoir toujours un récipient d’eau ou de sable à proximité, en cas de brûlure ou d’incendie.
Les conseils d’allumage et de cuisson au barbecue :
- Privilégier le charbon de bois ou le bois naturel, au lieu de bois de récupération et de cagettes qui peuvent émettre des fumées toxiques liées à un traitement par produit chimique.
- Ne pas jamais utiliser d’essence, d’alcool ou tout autre produit inflammable, pour allumer le barbecue, privilégier des allume-feux solides.
- Ne pas déplacer le barbecue une fois allumé.
- Utiliser un tablier et des gants de protection (manique) pour toute manipulation, en évitant les matières synthétiques.
Les règles de sécurité avec les enfants :
- Éloigner systématiquement les enfants lors de l’utilisation d’un barbecue.
- Mettre les produits d’allumage hors de portée des enfants.
- Expliquer aux enfants les règles de sécurité et les risques de brûlure.
- S’assurer que les enfants ne jouent pas à proximité du barbecue, notamment des jeux de ballons.
Comment réagir en cas d’accident et de brûlure ?
* En cas de brûlure superficielle :
- Refroidir la zone brûlée par ruissellement d'eau tempérée (15 à 25°C). Si les vêtements sont collés à la peau, ne pas les enlever et faire couler l'eau par-dessus. Si la brûlure est trop étendue, ne pas appliquer cette méthode au risque de provoquer une hypothermie.
- Demander l’avis d’un médecin avant d’appliquer un traitement quelconque (crème anti-brûlure, …).
* En cas de brûlure grave :
- Enlever les bijoux pour éviter des complications en cas de gonflement de la zone brûlée.
- Retirer les vêtements, sauf s’ils adhérent la peau à cause de la brûlure..
- Ne rien appliquer sur la brûlure, au risque de l’aggraver.
- Contacter immédiatement les services d’urgence : SAMU (le 15) ou les Sapeurs-Pompiers (le 18) ou le numéro d'urgence unique (le 112)

Il est déjà parmi nous... Le MOUSTIQUE TIGRE...
POURQUOI s'en préoccuper ?
- CHEFS D’ACCUSATION : piqûre douloureuse durant la journée, généralement le matin et au crépuscule. Impliqué dans la transmission de la dengue, du chikungunya
et de zika
- La femelle pond environ 50 œufs tous les 4 jours, sa prolifération va très vite.
Il vit au maximum à 150 m de son lieu de naissance à proximité des humains car il a besoin d’eux pour se développer.
- Sa durée de vie est d’environ 1 mois.
- Ce moustique est actif du printemps à l’automne.
COMMENT le reconnaitre ?
- TAILLE : 5 mm, le petit de la famille
- SIGNES DISTINCTIFS : silhouette noire, rayures blanches abdomen & pattes, ligne blanche de la tête au thorax
- PARTICULARITÉ : il est silencieux et préfère les zones ombragées
À SAVOIR : le moustique n’est pas lui-même porteur de virus, il ne peut les transmettre que s’il a piqué au préalable une personne déjà infectée
QUE faire ?
- Vider tous les objets pouvant contenir de l’eau permet de supprimer les lieux
de ponte et de limiter le développement des moustiques
- Couvrir vos réserves et contenants d’eau par un couvercle ou une moustiquaire tiendra le moustique à distance !
- Si vous le croisez, signalez-le : signalement-moustique.anses.fr
Intoxication alimentaire

Salades, viandes grillées, poissons crus, fruits, glaces… En période estivale, nos repas prennent un coup de frais. Mais gare à l’intoxication alimentaire ! Certains d’entre eux peuvent en effet contenir des bactéries responsables de maladies désagréables voire dangereuses.
Quelles sont donc les règles à respecter pour limiter les risques ?
1° Un lavage régulier et rigoureux des mains, surtout si nous mangeons ou cuisinons des fruits et légumes pour une consommation crue.
2° Afin de limiter le risque de contamination par des aliments consommés crus, il existe quelques règles à respecter :
- rester attentif à la fraîcheur des produits alimentaires quand vous les achetez ;
- laver soigneusement les fruits et les légumes avant de les consommer ou de les préparer. Les fruits et légumes en barquettes ou sachets doivent aussi être lavés, sauf s’il est mentionné le contraire sur l’emballage ;
- conserver les aliments dans des conteneurs adaptés et aux températures recommandées en séparant chaque catégorie d’aliments ;
3° Attention à la chaine du froid : contrairement aux idées reçues, le froid ne détruit pas les micro-organismes. La décongélation peut même provoquer une reprise de leur activité.
Quelques conseils :
- ne jamais recongeler un produit décongelé ;
- acheter les produits surgelés à la fin des courses, les transporter dans des conteneurs adaptés (sac isotherme). La rupture de la chaîne du froid doit être la plus courte et la moins brutale possible ;
- bien respecter les indications portées sur les étiquettes des aliments pré-emballées, en particulier les consignes de durée et de température de conservation ;
- emballer soigneusement les aliments destinés à consommer ultérieurement (pique-nique par exemple) et les conserver dans du matériel adapté (blocs réfrigérants, glacière).
- élaborer les préparations culinaires à base de produits d’origine animale crus (mayonnaise par exemple) au dernier moment, les conserver au frais avant de les servir et les consommer dans les 24 heures ;
- conserver au frais les produits traiteurs, plats cuisinés, pâtisseries à base de crème ou produits non pré-emballés et les consommer dans les 3 jours après achat ;
D’une manière générale, ne pas conserver les aliments préparés plus de deux heures à température ambiante.
Attention ça pique !
L’été, c’est la saison des randonnées, des balades, des activités dans le jardin, des repas en terrasse… C’est aussi la saison où moustiques, tiques, abeilles, frelons, vipères sont de sortie et peuvent piquer ou mordre, avec des conséquences parfois graves pour la santé.
Comment limiter le risque de piqures ou morsures ?
Pendant une activité nature, pour se protéger :
– Je porte des chaussures et des vêtements couvrants (jambes et bras), un chapeau et je rentre le bas de mon pantalon dans les chaussettes ;
– Je reste sur les chemins, j’évite les broussailles, les fougères et les hautes herbes. J’évite de soulever les pierres et les tas de bois ;
– J’applique des répulsifs contre les insectes sur la peau et/ou sur les vêtements, en respectant leur mode d’emploi ;
– Chez moi, je supprime les eaux stagnantes et je débroussaille les herbes hautes.
Et si je me fais piquer ?
- Par un moustique tigre : si je suis dans une zone où est implanté le moustique tigre et que je ressens les symptômes suivants : fièvre forte ou modérée, grande fatigue, douleurs musculaires ou articulaires, maux de tête, conjonctivite, je consulte sans tarder un médecin et je continue à me protéger des piqûres.
- Par une tique : si je repère des tiques sur mon corps, je les retire immédiatement avec un tire-tique et je désinfecte avec un antiseptique.
Si, dans le mois qui suit la morsure, apparaissent une plaque rouge et ronde qui s’étend en cercle à partir de la zone de morsure ou d’autres symptômes (fièvre, paralysie, etc.), je consulte sans tarder un médecin.
- Par une vipère : Si j’ai été mordu, j’appelle immédiatement les urgences en faisant le 15 ou le 112. En attendant les secours, je reste calme et j’ôte tout ce qui peut serrer la zone mordue (bagues, montres, chaussures etc.). Je désinfecte la plaie avec un antiseptique et j’immobilise, sans serrer, le membre mordu pour ralentir la propagation du venin.
- Par une guêpes, abeilles, bourdons et frelons : si je suis piqué, je retire rapidement le dard avec l’ongle ou avec une carte de crédit (ne pas utiliser de pincette) ;
- En cas de piqûre à la main, j’enlève mes bagues pour ne pas gêner la circulation du sang si un gonflement se développe ;
- Je désinfecte à l’eau et au savon, puis j’applique un antiseptique ;
- En cas de douleur intense, je prends un antidouleur par voie orale ;
- Je vérifie si je suis à jour de ma vaccination contre le tétanos.
Si la réaction locale s’aggrave dans les jours qui suivent la piqûre ou si des signes généraux d’infection tels que de la fièvre et/ou des frissons se développent, je consulte sans tarder un médecin ;
En cas de piqûre dans la bouche ou dans la gorge, je suce un glaçon et je consulte immédiatement un médecin ou je me rends aux urgences ;
En cas de réaction allergique, j’appelle immédiatement le 15 ou le 112, je m’allonge et je surélève mes jambes. Si je suis allergique, je peux demander à mon médecin de me prescrire une trousse d’urgence et j’informe mon entourage et mes amis de ce risque allergique.

C'est l'été : attention au noyade !

Ca y est, nous y sommes enfin.. Les vacances scolaires !! Les départs en vacances, les journées plages... Mais il faut rester vigilant. Chaque été, les enfants de moins de 6 ans représentent le quart des noyades accidentelles. Un enfant se noie en quelques minutes, sans se débattre, ni faire de bruit.
Les ministères chargés de la Santé et des Sports, en partenariat avec l’Institut national de la consommation (INC), lancent à partir du 17 mai 2023 une nouvelle campagne de prévention des noyades axée sur les bons gestes à adopter pour une surveillance efficace des baignades avec enfants, sous le slogan "Vous tenez à eux, ne les quittez pas des yeux".
Ce qu'ils expliquent pour éviter les noyades :
- Avoir une surveillance efficace : c'est une surveillance permanente et rapprochée.
Si mon enfant à moins de 6 ans, je me baigne avec lui.
Quand mon enfant est dans l’eau ou au bord de l’eau je ne le quitte pas des yeux, je reste à moins d’un mètre de lui, je ne m’absente jamais, même un court instant.
- Quand c'est une baignade à plusieurs : dès le début, il faut désigner la personne qui aura le rôle de surveiller, et si plusieurs enfants se baignent, le mieux est de partager la surveillance entre plusieurs adultes, à condition de définir clairement quel adulte surveille quels enfants. Et surtout, la surveillance de la baignade ne doit jamais être confiée à un autre enfant ou un ado.
Et que faire lorsqu’un enfant "a bu la tasse" ?
Il faut immédiatement le sortir de l’eau. S’il respire, mais qu’il n’est pas comme d’habitude après quelques minutes (5 maximum), en particulier s’il s’endort, s’il tousse, s’il est essoufflé ou s’il vomit : prévenez immédiatement les secours.
Numéros d'appel d'urgence : 15 - 18 – 112
Vous pourrez retrouver tous les conseils sur
https://www.inc-conso.fr/content/les-bons-gestes-pour-surveiller-les-enfants-lors-dune-baignade-en-partenariat-avec-les?fbclid=IwAR07b1wGwuwrWywqzfIVrRbKZn6gxzeX3e2t8GBafElP-rRclhlzq2NQ134
23e édition "La Nuit de L'Erdre"
Top départ pour la 23e édition @lanuitdelerdre à Nort sur Erdre.
Au programme : 4 jours de festival, de concert et de bonne humeur.
Mais même pendant ces moments festifs, il faut rester vigilant. L'excès d’alcool, la consommation de drogues ou les risques auditifs sont des préoccupations pour les organisateurs.
C'est pourquoi, un stand prévention est présent pendant toute la durée du festival : des bouchons d’oreille, casques, préservatifs, éthylotests et autres sont à disposition. Les lycéens de Nort-sur-Erdre participent également à la sensibilisation, avec la réalisation d’affiches.
Un espace "Safe Zone" est également ouvert à tous et toutes, où les festivaliers.ières trouveront une zone de refuge en cas de danger ou incident.
Pour finir, amusez-vous en veillant les uns sur les autres !
Bon festival
Lien utile :
https://www.lanuitdelerdre.fr/prevention/

Prévention forte chaleur

L'été est arrivé avec son soleil, ses journées longues et chaudes.
La chaleur a un effet immédiat sur l’organisme, dès les premières augmentations de température : les impacts de la chaleur sur la santé ne se limitent pas aux phénomènes extrêmes comme les épisodes de canicule.
La solidarité entre les générations est un élément crucial de la prévention. Prendre conscience que l’on est tous à risque, même si certains le sont davantage, est primordial.
Chez les personnes âgées, les mesures à prendre avant :
- Les personnes âgées, isolées ou handicapées peuvent se faire connaître auprès des services municipaux pour figurer sur le registre communal
- S’organiser avec les membres de sa famille, ses voisins pour rester en contact tous les jours avec les personnes âgées, isolées ou fragiles. Ce geste d’aide mutuelle peut s’avérer décisif
- Ne pas hésiter à demander conseil à son médecin ou à son pharmacien, tout particulièrement en cas de problème de santé ou de traitement médicamenteux régulier (adaptation de doses par exemple)
- Des documents d'information concernant le bon usage et la conservation des produits de santé sont disponibles sur le site Internet de l'ANSM, à destination des professionnels de santé.
Pour les personnes âgées, il est très important qu’elles se protègent au maximum de la chaleur en :
- Passant plusieurs heures par jour dans un endroit frais ou climatisé
- Se mouillant régulièrement le corps pour abaisser leur température corporelle (par exemple en s’appliquant des linges ou un gant humide sur le visage, les bras, le cou) et en se vaporisant de l’eau sur le visage...
- Buvant suffisamment (environ 1,5 litre d’eau, c’est-à-dire la quantité d’eau qu’elles sont en mesure d’éliminer)
- Mangeant suffisamment (si besoin en fractionnant les repas), pour apporter les sels minéraux nécessaires à l’organisme.
Le 12 mai : Journée Internationales des Infirmiers et Infirmières !

En ce 12 mai, nous souhaitons une bonne fête à celles et ceux qui font preuve chaque jour de leur engagement et de leur professionnalisme auprès des patients, aussi bien à domicile qu'en structure. Bravo à vous et merci !
Soirée prévention : Les Premiers Secours / Assemblée Générale du 7 avril 2023


L’Association des Centres de Soins Infirmiers de la Région de Nort/Erdre, ACSIRNE , a tenu son AG le vendredi 7 avril 2023 aux Touches, une des 6 communes couvertes par ses services.
En première partie, une cinquantaine de participants ont pu profiter d’une action de prévention sur le thème "Les premiers secours", présentée par l’antenne de Nort sur Erdre de la Protection Civile 44.
L’assemblée a été attentive aux informations apportées, aux conseils et gestes à faire en cas d’urgence. Pour rappel, la formation PSC1 proposée par la protection civile est accessible à partir de 10 ans sur une journée. La protection civile cherche également des bénévoles disponibles quelques heures par mois.
En deuxième partie, l'Assemblée Générale s'est tenue avec la présentation des comptes , l'élection du Tiers Sortant, ainsi que le rapport moral du Président en poste Mr GUELLIER Dominique.
Il a rappelé l’effectif infirmier actuel au nombre de 22 ainsi que 2 postes administratifs à Nort/Erdre et un poste à St Mars du Désert 3 jours par semaine, managés par la directrice Sylvie FEILLARD, dont l’efficacité n’est plus à démontrer. Il a salué et remercié l’ensemble du personnel et les administrateurs : chaque année amène son lot de difficultés et de satisfactions. Vous savez garder le cap et aller à l’essentiel : l’accompagnement des personnes avec respect et efficacité.
Nous rappelons que les services du centre de soins infirmiers sont assurés 7j/7 avec astreinte de nuit.
Soirée prévention : Les Premiers Secours / Assemblée Générale
Le vendredi 7 avril à 20h, l'Association Centre de Soins Infirmiers de la Région de Nort sur Erdre organise une soirée prévention sur le thème des Premiers Secours.
Animée par la Protection Civile de Loire-Atlantique , vous pourrez voir ou revoir les bases des gestes à adopter quand on se trouve face à une urgence.
Cette soirée se déroulera à la salle Orange, rue du Mont Juillet aux Touches.
A l'issue de la soirée se tiendra l'Assemblée Générale de l'association, l'occasion de découvrir nos activités et pourquoi pas de s'investir dans la vie de l'association.

Le don du sang et de plasma

Le don du sang et de plasma est essentiel dans le traitement de certaines maladies rares.
Prenez rendez-vous dés aujourd'hui pour la prochaine collecte sur Nort sur Erdre le mardi 7 mars de 16h à 19h30 à la salle des Loisirs sur le site https://dondesang.efs.sante.fr/trouver-une-collecte
L'épilepsie
L’épilepsie est une maladie neurologique chronique caractérisée par la survenue de crises épileptiques. Elles apparaissent sans cause identifiée, ou sont liées à une autre maladie.
La crise d'épilepsie se caractérise par des manifestations physiques transitoires qui résultent de décharges électriques brusques et excessives d'influx nerveux dans le cerveau, véritables "éclairs" parcourant de nombreux neurones. Ces décharges apparaissent dans la partie périphérique du cerveau (ou cortex).
En France, environ 600 000 personnes ont une épilepsie, dont la moitié a moins de 20 ans.
L’épilepsie est plus fréquente chez les enfants et les personnes âgées.
L’Assurance Maladie propose un dossier complet sur cette maladie chronique, de ses causes à son traitement.
Lien pour plus d'infos :
https://www.ameli.fr/paris/assure/sante/themes/epilepsie

#lapréventionestlameilleuredesprotections
Journée nationale de prévention du suicide

#lapréventionestlameilleuredesprotections
Un sujet bien difficile mais qui reste malheureusement d'actualité, et qui touche toutes les générations.
Les signes avant-coureurs sont compliqués à déceler et différents entre les adultes et les jeunes.
Nous avons en France un numéro national gratuit disponible 7 jours sur 7, 24 heures sur 24, à destination des personnes en souffrance et de leur entourage : le 3114
Un professionnel du soin, spécifiquement formé à la prévention du suicide, sera à votre écoute.
Sur ce site, vous trouverez des ressources pour mieux comprendre la crise suicidaire et des conseils pour la surmonter.
Le 3114 est piloté par le Ministère de la Santé et de la Prévention.
Liens utiles :
https://3114.fr/
https://www.ameli.fr/assure/sante/urgence/pathologies/crise-suicidaire-tentative-suicide
Semaine européenne de prévention du cancer du col de l'utérus

Chaque année, en France, 3 000 cas de cancers du col de l’utérus sont diagnostiqués et 1 100 patientes en décèdent.
Pour l’Organisation Mondiale de la Santé, ce cancer serait totalement éliminable grâce à deux actions efficaces et complémentaires : le dépistage et la vaccination, qui prévient les infections à papillo-mavirus humains (HPV)
- Le dépistage consiste en un prélèvement au niveau du col de l’utérus qui permet de détecter au plus tôt des cellules anormales (examen cytologique) ou la présence du papillomavirus (test HPV). Il est recommandé tous les 3 ans pour les femmes de 25 à 29 ans et tous les 5 ans pour les femmes de 30 à 65 ans
- La vaccination contre le HPV est à destination des filles et des garçons de 11 à 14 ans (avec un rattrapage vaccinal possible jusqu’à 19 ans). Il permet de prévenir les infections génitales à HPV à l’origine d’environ 90% des cancers du col de l’utérus et à l’origine d’autres cancers des voies génitales et de la sphère ORL.
N'hésitez pas à vous renseigner auprès de votre médecin, d'une sage-femme ou d'un gynécologue.
#lapréventionestlameilleuredesprotections
Nouvelle enseigne pour le Centre de Soins Infirmiers de Petit Mars
La nouvelle enseigne du Centre de Soins Infirmiers de Petit-Mars réalisée par Pub-Leg est en place.

Bonne année 2023 !
Nous vous souhaitons à tous une très belle année 2023, pleine de bonheur.
Une nouvelle année oui, mais on continue à prendre soin de sa santé !
La prévention est le premier pas pour prendre soin de soi : en adoptant des petits gestes simples, on peut réduire les risques de complications à l'avenir.
1. Diversifier son alimentation : on a tendance à manger toujours un peu la même chose, par manque de temps ou d'inspiration. En prenant l'habitude de chercher de nouvelles idées de recette, d'essayer de découvrir des nouvelles saveurs en sortant des préjugés, on apporte à son organisme de la nouveauté qui lui fera du bien.
2. Bouger plus :
on l'entend partout, bouger est une des clés pour être en santé. En bougeant tous les jours, notre organisme fonctionne plus vite, il élimine mieux. Et c'est bon pour le cœur, la pression artérielle, le diabète et le cholestérol, mais également pour le moral. Que ce soit une marche, une séance de ménage rythmée, de prendre les escaliers plutôt que l'ascenseur... tout est bon ! Bouger un peu, c'est toujours mieux que de rester statique. Pas de pression, il vaut mieux multiplier les petits gestes faciles que de se fixer de gros objectifs que nous risquons d'abandonner rapidement.
3. Arrêter ou limiter sa consommation d'alcool et de tabac : on connait tous les méfaits de ce type de consommation, la réduction ou l'arrêt ne peut faire que du bien sur le long terme.
Et surtout prenez soin de vous et des autres avec bienveillance !

#lapréventionestlameilleuredesprotections
La bronchiolite
La bronchiolite est une maladie très contagieuse qui peut toucher les bébés dés la naissance.
Elle se peut se transmettre :
- directement de personne à personne, par les sécrétions bronchiques (éternuements, postillons, toux, mouchage...) ou par un contact entre personnes (baiser) ;
- indirectement, par l'intermédiaire des mains ou d'objets souillés par la salive (jouets, linges de toilette, aliments ou boissons contaminés...).
Pendant cette période d'épidémie, des gestes simples peuvent limiter le risque d'infection :
- se laver régulièrement les mains, ainsi que celle de votre enfant, si possible avec du savon liquide, en les frottant pendant 30 secondes. Rincez-les ensuite sous l’eau courante et séchez-les avec une serviette propre ou à l’air libre.
- Limitez les visites à la sortie de maternité au cercle des adultes très proches et non malades et évitez que votre nourrisson de moins de 3 mois entre en contact avec de jeunes enfants.
- évitez d'embrasser votre enfant sur le visage et dissuadez-en les autres adultes ainsi que ses frères et sœurs, surtout s'ils fréquentent une collectivité (crèche, école...) en période d'épidémie.
- n'échangez pas les biberons, les sucettes et les couverts au sein de votre famille ; nettoyez-les et séchez-les tout de suite après les avoir utilisés.
- nettoyez fréquemment les jouets et peluches de votre nourrisson, et les doudous au retour de la crèche
- si possible, évitez d'emmener votre enfant dans les lieux publics confinés (magasins, centres commerciaux, transport)
- si vous êtes malade, pensez à porter un masque lorsque vous vous occupez de votre bébé.
En cas de symptômes, appelez en priorité votre médecin, puis le 15 avant d'aller aux urgences.
#lapréventionestlameilleuredesprotections
Le mois sans tabac
Chaque année en France, le tabac est responsable de 73 000 décès dont 45 000 par cancer. Il est LA première cause de cancers. Il n’est jamais trop tard pour arrêter de fumer !
Ce mois de novembre pourra devenir votre premier mois d'une longue liste de mois sans tabac.
Vous trouverez sur le site de la ligue contre le cancers https://www.liguecancer44.fr/prevenir-pour-proteger/tabac-2/ tout un tas d'outils pour vous permettre de vous faire accompagner dans ce grand changement.
Mais comme pour tout, le meilleur moyen pour arrêter, c'est de ne pas commencer !
Pour aider les jeunes à ne pas tomber dans la dépendance au tabac, il est important de dénormaliser la cigarette, en rappelant que c'est une pratique qui a des conséquences importantes sur notre corps et sur notre vie. Fumer n'est plus à la mode et c'est une bonne idée de leur rappeler qu'ils ont suffisamment de personnalité pour ne pas se sentir obligée de s'empoisonner pour avoir des amis.
Que ce soit une question de santé, de qualité de vie ou pour faire des économies, l'arrêt du tabac est toujours une bonne décision.
Liens utiles : https://www.facebook.com/LIGUECANCER44/
#lapréventionestlameilleuredesprotections
Faire bouger son ado au quotidien
Faire bouger son ado est un vrai défi au quotidien. Entre le portable ou la balade en forêt, c'est rarement la balade qui s'impose avec enthousiasme.
Ce n’est pas facile au quotidien mais ne vous découragez pas car c’est grâce à votre soutien que ça finira par marcher !
Quelques conseils :
- Devenez un modèle actif : les jeunes ont plus tendance à faire ce que l’on fait… que ce que l’on dit
- Recherchez les occasions de bouger ensemble : un balade en famille, un séance de pèche à pied entre les rochers sur la côte, un tour en canoé sur l'Erdre... du moment qu'on passe du temps ensemble. Ils pourront même trouver un spot sympa pour un snap
- Aidez-les à trouver des activités physiques qu’ils aiment : forum des associations, cours d'initiation, stage pendant les vacances.. le plus dur, c'est de les inscrire
- Pour les trajets de moins de 5km, privilégiez la marche, le skate, le vélo ou les rollers : d’ailleurs, saviez-vous que 40% des déplacements en voiture font moins de 5 km ? Pour les autres trajets ou lorsqu’on habite loin du collège, des magasins ou des lieux d’activités ça peut être compliqué de se passer de la voiture ou des transports en commun mais quelques astuces peuvent vous permettre de réduire leur utilisation ! Pour aller au collège, vous pouvez déposer votre enfant un peu plus loin pour qu’il finisse le trajet à pied ou s’il prend les transports en commun, il peut descendre une ou deux stations avant par exemple pour retrouver un copain ou une copine avec qui finir le trajet à pied.
Ce n'est pas gagné d'avance, mais chaque encouragement est important.
Pour aller plus loin, rendez vous sur le site de mangerbouger.fr pour avoir d'autres conseils
https://www.mangerbouger.fr/bouger-plus/a-tout-age-et-a-chaque-etape-de-la-vie/les-recommandations-et-conseils-pour-les-enfants-et-adolescents?fbclid=IwAR0Sxt6KqT3PLf-BF89xVVBwZWvQ89hyBez4n8fZXMqKvhMhuKekpwYMEQU
#lapréventionestlameilleuredesprotections
La campagne de vaccination contre la grippe saisonnière a démarré le 18 octobre. La grippe touche chaque hiver entre 2 et 6 millions de personnes.
Elle est responsable de nombreuses hospitalisations et décès, en particulier chez les personnes fragiles.
La vaccination est un moyen de prévention mais il ne faut pas oublier d'appliquer une série de gestes simples destinés à limiter la transmission :
- se laver les mains régulièrement, avec de l'eau et du savon ou avec une solution hydroalcoolique ;
- tousser ou éternuer dans son coude ;
- utiliser un mouchoir en papier à usage unique ;
- porter un masque ;
- limiter les contacts avec des personnes fragiles ou malades.
Lien utile : https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A15259

#lapréventionestlameilleuredesprotections
Le monoxyde de carbone
Le monoxyde de carbone est un gaz très dangereux : il ne se voit pas et ne sent rien.
Mais quand on le respire, il prend la place de l'oxygène. On a mal à la tête, envie de vomir, on est très fatigué.
On peut aussi s'évanouir ou même mourir.
Pour limiter les risques :
- faire réviser sa chaudière tous les ans, ainsi que les chauffages, les ventilations et la production d'eau chaude
- aérer au moins 10 minutes tous les jours
- bien respecter les précautions d'emploi des chauffages d'appoint

#lapréventionestlameilleuredesprotections
Octobre Rose

#lapréventionestlameilleuredesprotections
Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent en France et représente la première cause de décès par cancer chez la femme.
Il touche également les hommes.
C'est pourquoi il est important de ne pas avoir peur d'en parler et de s'informer.
Il est nécessaire d'adopter les bons réflexes comme le dépistage, qui peut sauver des vies.
Si elle ne remplace pas les autres méthodes de dépistage, une surveillance régulière de ses seins à la maison permet de signaler sans tarder la moindre petite anomalie à son médecin. Et, si elle s’avère cancéreuse, de la traiter à un stade précoce, augmentant ainsi les chances de guérison.
Prévention de la phobie scolaire
La rentrée vient juste de passer mais déjà pour certains enfants, la peur d'aller à l'école s'installe.
La phobie scolaire, ou « refus scolaire anxieux », se caractérise par une peur irrationnelle qui saisit certains enfants à l’idée de se rendre à l’école. Crises de colère, larmes, insomnies, maux de ventre ou de tête, désordres intestinaux… Les symptômes sont très divers et disparaissent les jours où il n’y a pas école.
Des pistes pour l'aider :
- ne pas prendre son mal être à la légère, lui poser des questions sans le harceler
- lui raconter votre propre expérience à l'école, lui parler de vos matières préférés, de vos notes, de ce que vous aimiez ou non
- inviter des copains d'école à la maison, faire les trajets entre les deux lieux avec lui, afin de créer une passerelle entre la vie familiale et l’école. Montrez à votre enfant que l’école n’est qu’un prolongement de votre vie à la maison, et que vous serez toujours à ses côtés. L’idée est d’éviter une séparation trop brutale entre ces deux univers
- ne laissez pas trainer la situation et consulter un professionnel de santé
Des aides sont proposées par la région, n'hésitez pas à vous renseigner

#lapréventionestlameilleuredesprotections
Le 21 septembre, c'est la Journée Mondiale de la maladie d'Alzheimer

Saviez-vous que la prévention permet de retarder l'apparition des premiers symptômes ?
Quelques gestes simples à pratiquer au quotidien :
- le protéger des agressions extérieures, des chocs et des traumatismes, mais aussi des substances toxiques pour nos neurones qui peuvent circuler dans notre corps ;
- prendre soin de l’organisme qui le porte, notamment au travers de notre alimentation et de nos habitudes de vie ;
- le cultiver en permanence nos relations avec les autres et notre humeur, pour le stimuler efficacement.
Pour aller plus loin
#lapréventionestlameilleuredesprotections
Prévention risque de chutes
Le saviez-vous ? Les chutes ne sont pas sans conséquences pour les personnes âgées.
Des solutions existent pour limiter les risques.
#lapréventionestlameilleuredesprotections
Garder la forme au fil du temps
Cette année, le thème retenu "Garder la forme au fil du temps" a été présenté par l'Association Kiné Prévention 44, lors de notre assemblée générale.
L'activité physique, comme une alimentation saine et équilibrée, peut contribuer à améliorer la santé de manière significative.
L'organisation Mondiale de la Santé (OMS) recommande pour le personnes de plus de 65 ans, 150 minutes d'activité d'endurance d'intensité modérée par semaine soit 30 min/j, 5j/7, cette intensité permet de parler en marchant.
L'activité physique à de nombreuses répercussions bienfaisantes sur le corps: elle améliore l'endurance cardio-respiratoire, la souplesse, l'agilité, la posture et l'équilibre. Elle permet de conserver une bonne circulation sanguine et une bonne santé osseuse. Par ailleurs, elle intervient sur la santé mentale, en diminuant l'anxiété et en augmentant la confiance en soi.
L’activité physique c'est bouger au quotidien, comme emprunter les escaliers plutôt que l'ascenseur, faire une marche après les repas pour mieux digérer, faire son ménage, bricoler, jardiner, aller chercher son pain à pied, aller danser...
Toutes ces activités du quotidien, selon les gouts et les envies de chacun permettent de réduire le taux de maladies chroniques (l'hypertension, l'accident vasculaire cérébral, le diabète, le cancer) (notamment du sein et du côlon) et le taux de mortalité prématurée. Bouger réduit aussi la détérioration des fonctions cognitives et la dépression.
Comment bouger avec de l'arthrose, des douleurs? Connaitre votre indice de forme! Avoir des conseils et mouvements faciles à mettre en place pour améliorer votre forme.
Il n'est jamais trop tard pour pratiquer des activités physiques et améliorer sa santé et sa qualité de vie. Il fait choisir des activités agréables et sécuritaires.
Soyez acteur de votre santé: marchez, jardinez, bricolez, dansez ...
Intervention prévention "Garder la forme au fils du temps"
#lapréventionestlameilleuredesprotections